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mardi 4 août 2009

[DIVERS] Youhou ! Croisière passe sous ScummVM !



Alors que je vous avais fait un test de "Croisière pour un Cadavre" le 30 Avril dernier dans lequel je vous disais que le travail de l'équipe de ScummVM sur le moteur "CruisE Engine" de Delphine Software (le "CruisE Engine" étant le moteur utilisé dans CpuC) avançait au ralenti depuis près de 4 ans, voilà que je viens d'apprendre que la dernière version "nightly build" (c'est à dire dans la version "beta" en cours de test) de ce merveilleux logiciel intègre la compatibilité de CpuC (même si la nouvelle n'est pas fraîche puisqu'elle date du 10 Juillet dernier...), jouable à 95% (dixit le site de ScummVM lui-même).

Pour le moment, seul la version PC est compatible, mais cela me/nous permettra d'y rejouer sur toutes les machines possédant un portage de ScummVM, c'est à dire presque toutes les machines ! J'espère que les prochaines versions stables pour PSP et DS de ScummVM vont être mises à jour prochainement afin que je puisse me refaire ce jeu mythique ! Mais bon, je vais déjà pouvoir tester la version beta PSP, et ce dès demain, youhou !



Et ça pour une nouvelle, c'est une bonne nouvelle !


Pour le coup, j'ai presque envie de sortir le champagne du réfrigirateur ! D'autant plus que "Operation Stealth" a lui aussi intégré la myriade de jeux compatibles ScummVM (même si lui n'est compatible qu'à 80%, ayant encore quelques petits soucis graphiques). Voilà une journée qui finit plutôt bien !


[EDIT=05/08/09]
La version beta pour PSP ne contient pas tous les fichiers (pas de EBOOT.PBP mais un scummvm.elf, ce qui est quand même étrange) ou alors je ne les ai pas trouvés et/ou je n'ai pas compris comment l'installer, ce qui me semble étrange puisque j'ai déjà installé une tétrachiée de logiciels sur la PSP. Je me suis alors rabattu sur la version beta pour Mac et j'ai eu la bonne surprise de voir le jeu se lancer. Par contre, il faut la roue codée pour pouvoir y jouer pour le moment, en tout cas dans sa version française (ou alors une option permet de passer les codes sans rester bloqué sur un écran affichant un laconique "Codes erronés").

Bref, je vais donc attendre la prochaine version dite stable, qui devrait être la 1.1.0, et qui devrait arriver fin Août. D'ici là, j'espère que mon Pegasos sera remonté. De toute façon, je l'installerai aussi sur la DS et sur la PSP ! Et puis, peut-être que d'ici fin Août, j'aurais réussi à faire tourner la version beta PSP...
[/EDIT]


[EDIT=06/08/09]
Suite aux conseils prodigués par JaMiGa dans les commentaires de ce billet, j'ai réussi à faire fonctionner CpuC sur ma PSP hier soir (en convertissant le fichier scummvm.elf en PBP grâce à elf2pbp). Bon, il faut encore qu'ils virent la protection par roue codée parce que c'est un petit lourd, qu'ils le rendent compatible avec la version Amiga (quoique, je n'ai pas encore essayé) parce que les musiques Midi PC sont horribles, vraiment, et que le menu "joueur" (celui où on peut faire les sauvegardes notamment) soit fonctionnel parce que là, il est inopérant et je n'arrive pas à afficher la GUI de ScummVM par laquelle on peut sauver normalement... (oui, j'appuie sur la touche Start mais je n'ai pas le menu).

Et il est vrai, comme le dit JaMiGa, que jouer avec le stick analogique (même si on peut le ralentir en appuyant sur la touche triangle en même temps qu'on déplace le curseur) n'est vraiment pas évident...

Vivement la version DS parce qu'au stylet, ça devrait le faire ! En attendant, je vais essayer de trouver comment faire des sauvegardes avec cette version PSP, crénom ! ^.^
[/EDIT]


[EDIT2=06/08/09]
Bon, le menu "joueur" fonctionne... Mais je ne savais pas que la version PC ne proposait qu'une seule et unique sauvegarde, donc forcément le jeu ne vous demande pas de saisir de nom pour la sauvegarde...

Bon, faudra que je teste ma version Amiga sur ScummVM PSP quand même, histoire d'avoir de la vraie musique toute jolie ! Ah non, les musiques Amiga ne sont pas supportées... Argh !
[/EDIT2]


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/me va enfin pouvoir rejouer à ScummVM ailleurs que sur son 1200 !


Billet posté le 4 Août 2009

jeudi 30 avril 2009

[TEST] Croisière pour un maccabé !



Après le test fait hier, je ne pouvais pas passer à côté du jeu qui m'a fait découvrir le genre, le jeu de chez Delphine Software qui fut aussi mon premier achat de gamer et quel premier achat ! Je m'en souviens parfaitement, je l'avais acheté, dans sa version Amiga évidemment, chez But. J'avais alors 12 ans et j'avais été séduit par la magnifique boîte et par les captures d'écran visibles au dos. Mais le scénario m'avait aussi beaucoup intrigué. Quel petit garçon n'a jamais rêvé un jour d'être un détective privé ? Et me voilà, tout content dans la voiture de mes parents qui me ramenait à la maison, en train d'ouvrir fébrilement la boîte. Et là, que vois-je ? Une carte du bateau (que vous pouvez voir ci-contre), un petit livre à la couverture en imitation cuir (qui m'a servi pour la bannière de ce billet) contenant des coupures de presse et des annotations (voir le scan disponible au milieu à droite de ce billet), une roue au code étrange (en bas à gauche), et bien sûr les cinq disquettes du jeu, blanches avec le "logo" du jeu en rouge sang. Je n'avais pas encore commencé à y jouer que j'étais déjà amoureux de ce jeu. J'avais alors lu le petit livre et j'avais appris que Niklos Karaboudjan, riche armateur grec, m'avait invité, moi l'ancien inspecteur de police reconverti en détective privé, à participer à une croisière sur son yacht le 25 Mai 1927 pour que je l'aide dans l'écriture d'un roman policier. Comme il payait tous les frais occasionnés et comme je n'avais pas pris de vacances depuis longtemps je me décidais, moi Raoul Dusentier, à profiter de cette offre. Mais voilà, tout n'allait pas se passer comme prévu et à peine arrivé dans ma chambre, Hector, le majordome de Niklos, venait me chercher, paniqué. Niklos avait été tué ! Alors que je m'approchais du corps à la recherche de quelques indices potentiels, un coup me fut porté à la tête. Je me réveillais le lendemain matin à 8 heures et j'étais bien motivé à faire toute la lumière sur ce meurtre qui allait définitivement gacher mes vacances...

Mais comme je suis quelqu'un de méticuleux, j'avais déjà mené ma petite enquête sur les personnes présentes à bord du Karaboudjan III, histoire d'en connaître un peu plus sur les personnes que j'allais cotoyer pendant la croisière. De plus, cela m'avait permis de passer le temps en attendant le jour J. J'allais donc partager ma cabine avec Julio Esperanza y Soca Lambada, un fils à papa fana de courses automobiles qui possédait sa propre écurie, écurie dont il était le pilote principal. Je savais que Niklos s'était remarié avec une jeune femme prénommée Rebecca qui aimait le strass et les paillettes, et la fortune colossale de Karaboudjan l'aidait à assouvir ses envies. Daphnée Karaboudjan, la fille de Niklos issue de son premier mariage et accessoirement petite amie de Julio Esperanza, partageait sa cabine avec Suzanne Plum. Suzanne était une anglaise, une vieille amie de la famille, qui aimait l'alcool, sans doute un peu trop... Le couple Logan, Rose et Tom, était également de la partie. Tom était le notaire qui était en charge des affaires de la famille Karaboudjan. Bien établi à Paris, Tom était marié à Rose et ils n'avaient pas d'enfant. Il restait encore le père Fabiani, ami de la famille Karaboudjan qui entretenait des rapports privilégiés avec Niklos. Le père Fabiani, un peu accroc aux jeux de hasard (chacun sa petite faiblesse), avait une cabine à babord qu'il occupait avec un certain Désiré Grosjean, un militaire de carrière de l'armée française sur lequel je n'avais que peu d'informations. À cela il fallait rajouter le majordome, Hector, qui était au service de Niklos depuis de très nombreuses années ainsi que le reste du personnel du bateau, à savoir le capitaine Simon Vanmuller, la cuisinière, le mousse et la femme de ménage.

C'était armé de toutes ces informations que j'allais m'attaquer à ce qui allait être l'enquête la plus incroyable de ma carrière. Toute l'histoire allait se dérouler sur le bateau, en pleine mer. L'enquête durera 10h30, de 8h00 du matin jusqu'à 18h30, moment où j'allais désigner le meurtrier de mon doigt accusateur et vindicatif ! "C'est vous [...BIP...] le coupable !" Mais avant d'en arriver là, j'allais devoir dénouer un vrai noeud de vipères et comprendre tous les tenants et aboutissants de cette histoire. Chaque personne présente était plus qu'un suspect en puissance, chacun avait un mobile pour ce meurtre et les révélations des uns et des autres n'allaient pas m'aider dans ma tâche, bien au contraire. Alors oui, le jeu a vieilli surtout à cause du personnage qui est en 3D mais qui permettait de donner un effet de profondeur particulièrement novateur. Cet effet de personnage en 3D dans des décors en 2D sera d'ailleurs réutilisé bien plus tard dans "Alone in the dark" puis dans "Resident Evil" (je me demande même si CPUC n'est pas le premier jeu à utiliser cette technique du coup). Mais les musiques, l'ambiance, les bruitages (si vous avez 1 Mo de mémoire sur votre Amiga 500, vous entendez le bois du bateau craqué, les mouettes piaffées, etc.), et l'histoire sont toujours très bons, dommage que l'on ne puisse pas y rejouer via ScummVM (mais tout espoir n'est pas perdu puisque l'équipe de ScummVM y travaille, depuis 4 ou 5 ans soit, mais ils y travaillent). Je sais que ne suis pas objectif quand je parle de ce jeu, mais l'intrigue est tellement bien ficelée que je ne peux m'empêcher d'adorer ce jeu. Après, il faut bien reconnaître que les énigmes sont assez compliquées, que le passage où toutes les personnes à bord du bateau se décident à faire leur confession au même moment est un peu idiot, que les changements de disquettes incessants sont lourds (j'avais d'ailleurs acheté un lecteur de disquette externe pour ce jeu ^.^). Malgré cela, j'adore ce jeu !



Quelques captures d'écran de ce jeu, que je trouve toujours aussi beau.



On nous parle souvent de la "french touch" dans le jeu vidéo ! Elle a belle et bien existé fin des années 80/début des années 90 avec des studios tels que Delphine Software et ses merveilleux jeux d'aventure bien prise de tête ("Les voyageurs du temps" ou le très bon "Operation Stealth", tellement bon qu'il avait eu la licence James Bond aux États-Unis). Paul Cuisset, qui revient un peu sur le devant de la scène aujourd'hui avec un projet sur Wii, et ses compères de chez Delphine nous avait pondu un jeu d'aventure unique avec une ambiance digne d'un livre d'Agatha Christie. Ce jeu m'a fait découvrir l'univers du point & click et c'est, encore aujourd'hui, un genre que j'affectionne tout particulièrement. Si une sortie de ce jeu sur DS se faisait, je crois que je serais fou de joie (mais une compatibilité via ScummVM me comblerait déjà), tout comme une réédition de "Dune" de Cryo ! Mais cela est une autre histoire et sera sans doute l'occasion d'un autre test nostalgeek ^.^



Only for the fun : La publicité de l'époque !



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/me avait même commencé d'écrire le roman de CPUC au collège ! ^.^


Billet posté le 30 Avril 2009

mercredi 29 avril 2009

[TEST] Les claounes de Baphomet !



Voici un test qui devrait plaire à tous les amoureux des jeux d'aventure, les connaisseurs des jeux Sierra, LucasArts et Delphine (notamment). Dans ce test, nous allons parler des "Chevaliers de Baphomet" de Revolution Software, que ce soit dans sa version PSOne, GBA, PC (via ScummVM pour ma part, sur Amiga, PSP et MacOS) ou encore DS. N'ayant pas pu tester la version Wii, je n'en dirais rien mais je vous signale déjà que je compte me la procurer, tout comme je compte acheter le dernier "Indiana Jones" qui sortira sur Wii, non pas pour le jeu en lui-même mais pour le bonus qu'il contiendra à savoir "Indiana Jones and the fate of Atlantis", l'un des meilleurs jeux d'aventure de LucasArts. Bref, revenons à nos moutons et parlons un peu de "Broken Sword" alias "Les Chevaliers de Baphomet" en français. Sorti en 1996 sur PC, le jeu va connaître de multiples adaptations sur différents supports comme une version PSOne en 1997, une version GBA en 2002 puis tout récemment une version Nintendo DS et une version Wii. À cela, on peut rajouter la possibilité d'y jouer sur de multiples autres plateformes grâce à ScummVM (disponible sur PSP, AmigaOS, MorphOS, MacOSX, iPhone, BeOS, etc.). Malheureusement, il n'y a pas possibilité d'y jouer sur DS via ScummVM... Vous allez me demander quel en serait l'intérêt vu que le jeu est disponible officiellement sur DS ? La version DS ne propose pas les voix et, avec le merveilleux doublage VF dont le jeu était pourvu, c'est un vrai crève-coeur... Mis à part ça, le jeu est toujours aussi bon !

Pour ceux qui ne connaissent pas, sachez qu'il s'agit d'un jeu d'aventure dans la plus pure tradition, avec son inventaire, la possibilité de combiner des objets, où il faut faire de la recherche d'objets au pixel sur les différents écrans, avec des dialogues sympas et une histoire assez linéaire, mais pas tant que ça quand même. En effet, différentes scènes/endroits sont disponibles au cours de l'histoire, nous permettant de naviguer de l'une à l'autre et de résoudre les énigmes dans l'ordre que l'on souhaite, évitant ainsi de nous laisser coincé comme un imbécile devant un casse-tête qui semble nous résister. L'intérêt principal de ce jeu réside dans son histoire qui est très intéressante et passionnante, pleine de découvertes en tout genre et qui ne nous prend pas pour des imbéciles. On y incarne George Stobbard, un américain en vacances à Paris qui va être témoin d'un meurtre à l'explosif (assez violent comme assassinat, non ? ^.^) alors qu'il prend tranquillement un café à la terrasse d'un bistro. Mais comme George n'est pas du genre à rigoler avec la justice, et comme il voit que la police laisse faire, il se lance dans la traque du meurtrier aidé par Nicole 'Nico' Collard, journaliste pour le journal "La liberté". Résolus à dévoiler la vérité, et accessoirement à décrocher un Pulitzer pour Nico, nos deux compères s'embarquent alors dans une enquête qui les fera voyager en Irlande, en Espagne ou encore en Syrie, à la poursuite de l'épée cassée des chevaliers du Temple, épée qui semble être la clef de la vérité.

De prime abord, le scénario a l'air quand même bien capillo-tracté mais il n'en est rien. Tout est logique et même si certaines énigmes sont elles aussi un peu capillo-tractées, elles sont tout de même plausibles et sont à mille lieux des énigmes farfelues d'un Monkey Island (excellent jeu par ailleurs) par exemple, et c'est ce qui fait le charme de Baphomet. Si vous y jouez en version PC (via ScummVM ou non), PSOne ou Wii, vous aurez également la chance d'apprécier les doublages de George Stobbard qui sont tout simplement énormes. Que ceux qui y ont joués et qui ne se souviennent pas du "claoune" se manifestent, parce qu'ils ne doivent pas être nombreux. Par contre, celles-ci sont aux abonnés absents des versions GBA, ce qui semble un tout petit peu logique, et Nintendo DS, ce qui s'explique déjà un peu moins quand on sait qu'une cartouche DS peut faire jusqu'à 256 Mo. Toutefois, cette version DS, tout comme la version Wii, se permet d'ajouter quelques nouveautés et énigmes supplémentaires histoire de justifier son appelation "The Director's Cut". Cette version permet donc de commencer le jeu 24 heures avant la version normale et d'incarner Nico. Du coup, on comprend mieux les motivations de celle-ci et on en apprend également plus sur son histoire. La jouabilité au stylet est très plaisante, et les nouvelles énigmes basées sur l'utilisation de ce dernier (et de la WiiMote) sont rafraîchissantes bien que dispensables. Malgré tout, le jeu s'en trouve également un peu simplifié puisque les objets à dénicher se trouvent en trimballant le stylet sur l'écran et sont signalés par une aide visuelle lorsque vous passez à proximité de ceux-ci. De plus, cette version "longue" apporte également un système d'aide un peu trop tentant et qui met trop facilement sur la piste. Mais cela permettra aux réfractaires des prises de tête de profiter du scénario.

Le jeu était beau à sa sortie en 1996 et le reste aujourd'hui. Je ne cesserai jamais de le répéter, mais la 2D vieillit très bien, en comparaison de la 3D (prenez un jeu 3D de 1996 et pleurez). Dans sa version DS, les sprites des personnages ont été réduits, ce qui ne leur rend pas hommage, malheureusement. Par contre, les graphismes sur la version Wii (voir ci-contre) semblent vraiment respecter la série tout en les dépoussiérant un peu. Quant à la version PC, sachez qu'elle est toujours aussi belle surtout si vous y jouez via ScummVM en activant les bons filtres (certains dénaturent le jeu d'autres non, à tester). D'une difficulté plutôt bien dosée, même si je dois avouer que je l'ai terminé au moins une fois sur chaque plateforme décrite ici ce qui fait que je connais les énigmes et leurs solutions sur le bout des doigts ou presque, le jeu ne peut laisser indifférent. Et si comme moi vous êtes féru de jeux d'aventure et d'histoire, alors le mariage proposé par Baphomet et ses suites (je n'ai pas fait le dernier opus, à savoir "Les Gardiens du Temple de Salomon", donc je ne peux pas le juger) devraient vous ravir.


Les chevaliers de Baphomet, et ses suites, sont des petites perles pour les amateurs de jeux d'aventure. L'aventure y est riche et parsemée d'humour, avec des énigmes bien retors mais pas trop le tout accompagné par la voix inoubliable de George (sauf pour les versions GBA et DS). Que ceux qui sont passés à côté n'hésitent pas à se plonger tête baissée dans ce qui est devenu un classique incontournable du point & click. Et si vous accrochez vraiment, je vous conseille alors de vous jetez sur "Les boucliers de Quetzalcoatl" (disponible sur PSOne et PC) et même sur "Le Manuscrit de Voynich" (disponible sur PS2, GC et PC).


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/me n'aime plus les claounes depuis qu'il a lu "Ça", a vu "Il est de retour" et a joué aux "Chevaliers de Baphomet" ^.^


Billet posté le 29 Avril 2009