samedi 25 septembre 2010

[DIVERS] Psion Fait Rêver



Peut-être ne le savez-vous pas, mais mon Psion 5MX qui était dans un état impeccable n'a fonctionné que quelques semaines l'année dernière et puis la nappe qui relie l'écran au clavier est morte (maladie très, trop..., répandue chez les Psion malheureusement). Je m'étais renseigné pour le faire réparer auprès d'une personne qui s'est spécialisée dans le Psion et qui change donc ce type de nappe. Mais voilà, le forfait à 80 EUR (sans compter les ports aller et retour, finalement pas loin des 100 EUR) fait réfléchir, surtout quand on a payé le Psion guère plus...

Bien sûr, la soudure de la nappe se fait en 20 points de par et d'autre (la bête "orange" sur la photo de gauche) et le tout demande du temps pour être fait (deux heures, c'est le temps que met le monsieur de PsionForever.eu qui m'a réparé mon Psion, démontage, soudage et remontage). Et puis une nappe toute seule coûte pas loin de 30 EUR, donc au final, ce n'est pas cher payé, mais quand même, ça fait toujours un peu mal de sortir sa thune comme ça même s'il faut reconnaître que la réparation n'est pas à la portée du premier venu et puis, elle est aussi et surtout garantie 6 mois par Mister PsionForever !

Après quelques moments d'hésitation, je me suis dit qu'il fallait quand même que je le fasse réparer, ne serait-ce que pour le boulot où il pourrait m'être très utile. Du coup, j'ai envoyé le tout à PsionForever et deux semaines après (alors qu'il était en vacances pendant une de ces deux semaines), j'ai reçu mon Psion réparé, revigoré, revivifié, tout neuf quoi ! Quel plaisir ! J'ai remis ma carte Compact Flash dans le lecteur du Psion et il est reparti comme si de rien n'était.

Maintenant, le plus fort, c'est quand je le sors au boulot. Je suis "adjoint administratif" dans une grosse mairie, du coup j'assiste à pas mal de réunions dont je dois me fader les comptes-rendus... Et c'est là que mon Psion rentre en jeu : petit, je peux le glisser sans soucis dans mon sac voire ma poche, il fonctionne sur piles (2 piles AA pour une longévité de près de vingt heures, rien que ça) donc pas de soucis pour avoir de la batterie de secours (et j'ai également l'adaptateur secteur si une prise de courant se trouve à proximité), et il a un vrai clavier, ce qui fait que je tape plus vite que je n'écris avec un stylo, donc je prends plus de notes et je n'ai pas à retaper lesdites notes ! Du bonheur ! J'ai installé le dictionnaire Harraps que j'ai eu avec le Psion et qui me permet de faire des traductions anglais-français de documents Amiga notamment (on ne se refait pas, et puis le dico d'un côté et le texte de l'autre et on passe de l'un à l'autre grâce au multitâche, du bonheur !) et je joue à la GameBoy via un émulateur. Bref, simple et efficace. Mais le plus marrant, c'est la tronche des collègues quand ils voient cette "bête" sortir de ma poche ! Ils pensent tous que j'ai craqué en achetant un joujou dernier cri et sont surpris quand je leur dis que finalement, il a près de 10 ans. Mon chef a même été étonné de voir que je pouvais transférer si facilement mes textes tapés dessus sur un ordi (grâce à un lecteur de carte Compact Flash USB). Bref, le Psion, c'est bon, dommage qu'ils n'existent plus...

PS : Merci à PsionForever pour l'image du Psion dont la nappe a été changée et est en cours de test avant remontage.


Site internet : http://www.psionforever.eu (boutique eBay)

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/me utilise son Psion au boulot en 2010, et ça, c'est priceless !

Billet posté le 25 Septembre 2010

jeudi 2 septembre 2010

[TEST] Redemption, pendaisons et petits lardons



Que pourrais-je dire sur RDR (le dernier R étant pour Redemption et non pas pour Revolver, dont je vous ai déjà parlé ici il y a quelques temps) qui n'ait déjà été dit un peu partout sur le net ? En effet, le jeu est disponible depuis maintenant plus de trois mois, les tests et autres critiques ont déboulé sur le net à la vitesse de l'éclair et vous devez sans doute déjà avoir fini le jeu ou alors vous ne vous y êtes pas tenté parce que vous pensez qu'un GTA au far-west, ce n'est définitivement pas pour vous. Histoire de vous faire partager cette histoire et ce jeu et peut-être vous faire changer d'avis, je vais me lancer dans une critique d'une autre forme et vous contez l'histoire et le jeu à travers les yeux et la plume de Marston, le "héros" du RDR.


Je m'appelle John Marston, ancien membre d'un gang de doux rêveurs qui pensaient que la révolution pouvait passer par la redistribution des butins acquis lors de nos différents casses. Après une mésaventure où mes compagnons me laissèrent à l'agonie, je décidais de tourner la page et de me ranger. J'ai alors acheté un ranch près de la ville de Blackwater, au nord-est, pour élever mon fils, John Junior mais on l'appelle Jack, avec ma femme Abigail (qui a elle aussi eu une vie d'errance et de bohème puisqu'elle suivait notre bande et était une fille un peu facile, pour ne pas dire autre chose, ce qui ne m'a pas empêché de l'aimer et de l'épouser). Mais voilà, on ne peut se ranger aussi facilement surtout quand l'ardoise que l'on a est aussi chargée que la mienne... Edgar Ross, un homme de main du gouvernement faisant parti d'un bureau fédéral sans nom mais qui se trouve au-dessus de l'autorité des shérifs et même de l'armée, m'a proposé de travailler pour lui afin de capturer les anciens membres de la bande de Dutch van der Linde, MA bande. Bien évidemment, j'ai refusé... et bien évidemment, il ne s'est pas contenté d'un simple refus. Il a fait kidnappé ma femme et mon fils et ils ne seront libérés que lorsque j'aurais effectué ses bases besognes... Je me demande qui, entre lui et moi, est le pire... Enfin passons et continuons ce récit.

Ross m'a fait embarqué dans un train en direction d'Amardillo afin que j'aille m'occuper du cas de Bill Williamson. Ce bon vieux Bill, qui n'a pas inventé l'eau froide et c'est peu de le dire, s'est mis à la tête d'une nouvelle bande et il terrorise les habitants d'Amardillo et des alentours. Il s'est réfugié dans un ancien fort de l'armée, le Fort Mercer, et l'en déloger risque de ne pas être une partie de plaisir. Mon contact à Armadillo me conduit donc à Fort Mercer mais me laisse seul à quelques encablures afin de ne pas se faire trouer la peau, je le comprends le bougre, Bill est loin de faire dans la dentelle et je vais l'apprendre à nouveau à mes dépends. Ma rencontre avec Bill est aussi brève que brutale et s'achève avec un John Marston gisant sur le sol avec du plomb dans le buffet... J'avais pourtant opté pour une approche certes directe mais quelque peu subtile en demandant à Bill de se rendre. Apparemment, je n'ai pas su être très convaincant. Heureusement pour moi, un chariot passant par là m'a récupéré. La conductrice, Bonnie MacFarlane, possède un ranch avec son père, ranch qui ferait rêver n'importe quel cowboy débutant, moi y compris. Bonnie m'a donc ramené à son ranch et m'a soigné. Me voilà frais et clinquant, prêt à repartir à l'assaut de Fort Mercer, même si je pense opter pour une autre stratégie cette fois-ci. Pour remercier Bonnie et son père, je les aide un peu au ranch : escorte de vaches, captures de chevaux sauvages au lasso et domptage de ces derniers via des rodéos dignes des concours "du meilleur cowboy", patrouille dans le ranch des MacFarlane avec arrestation de banditos et chasse aux lapins mangeurs de carottes et aux loups mangeurs de poules et même sauvetage in extremis de chevaux (mais je n'en dirais pas plus).

Ne pouvant m'attarder plus longtemps au ranch, je décide de me remettre en route afin de capturer Bill, avec l'espoir de revoir Abi et Jack rapidement. Je remonte donc sur mon cheval, mais, avant de sortir de la propriété du ranch, je m'arrête chez l'épicier pour faire le plein de provisions en tout genre et pour acheter une petite tente qui me sera sans doute utile pour mes bivouacs nocturnes. C'est quand même hallucinant de se dire qu'un ranch peut avoir sa propre épicerie ! Alors que je m'apprête à sortir du domaine, un type m'insulte et me provoque en duel... Je n'aime pas trop ça (les insultes mais aussi les duels)... Je descends du cheval et me décide à l'affronter à la loyale. Je me mets en position et je me concentre, car je sais que la moindre erreur me sera sans doute fatale. Comme si j'étais en transe ou je ne sais quoi, je vois l'action se dérouler au ralenti. Je dégaine et je vise la main droite de ce fils de p*te dans le but de le désarmer sans le tuer. Je tire et, avant même que l'autre n'ait eu le temps de réagir, je le touche. Dégoûté et humilié, il repart la queue entre les jambes comme un sale coyote. Je vais enfin pouvoir continuer ma route vers Armadillo. Je me remets en selle et pars en direction de mon destin.

Le soleil commence à être caché par des nuages de plus en plus gros, je sens que le temps va se gâter. Et ça ne loupe pas. En effet, un orage d'enfer se déchaîne et je n'ai pas mis mon grand imper'... rah. Je profite quand même de ce déferlement d'eau pour chasser une biche qui passait par là : un peu de plomb dans la tête et le tour est joué, il ne reste plus qu'à la dépecer pour récupérer son cuir et sa viande. J'aurais préféré un cerf qui m'aurait permis de récupérer également les bois, mais bon, on chasse ce qu'on trouve. Alors que le temps semble enfin s'apaiser, je vois une jolie demoiselle en tenue légère sur le bord de la route, à côté d'une diligence dont les chevaux semblent mal en point. Je décide de m'arrêter pour l'aider et voilà que quatre enfoirés me sautent sur le râble et me demandent de me délester de mon cheval et de mon argent. Comme je n'aime pas trop me faire détrousser par des petits voyous qui ne savent même pas tenir une pétoire, je descends de mon cheval, je m'adosse à un rocher et je les refroidis tour à tour. La donzelle, bien embêter de se retrouver ainsi sans "défense", hurle qu'ils l'ont obligé de faire ça. Bah, qu'elle s'en aille, elle n'avait peut-être pas le choix et puis elle n'utilisait pas d'arme, soyons bon seigneur.

Armadilo se profile enfin au loin, il était temps, je commence à avoir le cul tallé à force de chevaucher. Arrivant à peine dans la ville, une prostituée, enfin je pense qu'elle pratique le plus vieux métier du monde vu ses habits, se fait agresser par un type qui semble vouloir profiter des charmes de la dame sans payer tout en étant particulièrement éméché. Un coup de lasso sur le poivrot et on en parle plus. Bon, c'est pas tout ça, mais il va me falloir un peu d'aide si je veux réussir à déloger Bill de son nid d'aigle. Peut-être que le shérif pourra me filer un coup de main. Je pars en direction du bureau du shérif qui fait aussi office de prison. Là, je tombe sur son assistant un peu trop zélé et qui a sans doute encore beaucoup à apprendre. Heureusement, le Marshal Leigh Johnson arrive avant que je ne m'énerve. Bien sûr, il ne veut pas m'aider mais serait heureux que je le débarrasse de Williamson... Mais, coup du sort ou hasard bienheureux, une attaque a lieu à quelques kilomètres de là et le shérif a besoin de mon aide. Voilà qui me permettra sans doute de marchander et d'obtenir quelques bénéfices par la suite. Le shérif et ses adjoints ont entendu parler de moi, il semble que Ross m'ait déjà fait une petite réputation, et ils ne vont pas arrêter de me gaver avec ça durant tout le trajet. Heureusement, arrivé sur place, le gang qui traîne me permettra de passer mes nerfs à coup de... six coups.


Voici donc un petit aperçu non exhaustif de ce que Red Dead Redemption vous réserve. Alliez cela à un moteur graphique relativement performant (il s'agit de celui de GTA4 un peu optimisé et n'affichant plus des dizaines de bâtiments/véhicules/personnages en même temps) et affichant des décors splendides, une jouabilité qui finalement s'avère adaptée même s'il s'agit encore une fois de celle de GTA4 (le seul truc qui peut choquer est le "radar", quelque peu anachronique), une histoire aux petits oignons et tout un tas de missions annexes qui rendent le jeu d'une richesse extrême, tellement riche qu'on passe le plus clair de son temps à côté de la trame principale.
Mon seul regret, après avoir passé près de 30 heures dans cet univers incroyable, est de ne pas trouver un intérêt à continuer l'aventure rien que pour avoir le plaisir de retourner dans cette époque et ces décors de rêves. Il faudrait sans doute que je me penche un petit peu sur le multi, sans doute.



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/me s'est pris pour un cowboy, et rien que pour ça, RDR est énorme.


Billet posté le 2 Septembre 2010

mercredi 1 septembre 2010

[AMIGA] Arrivage massif et de folie !



Voici un des avantages d'être webmestre et modérateur sur un site : vous validez les petites annonces et vous êtes donc le premier à les lire, ce qui est bien pratique.

Voilà donc comment j'ai été le premier à lire une petite annonce sur AmigaImpact.org qui était plus qu'alléchante. Elle disait en substance :
Je cherche à vider mon grenier, il contient en particulier un stock de matériel divers Amiga, dont un amiga 4000 desktop avec moniteur (le multisynchro de l'époque), un stock de matos divers dont beaucoup de disquettes et de CD (parfois avec boite et notice), des souris, différentes interfaces (son, vidéo), si mes souvenir sont bons il doit rester une carte PPC, des cartes émulations PC, cartes graphiques, etc. Le tout est au grenier depuis des années et j'ai besoin de place.

Je ne pourrais pas garantir le fonctionnement, bien que ca marchait encore avant d'être mis au grenier.

Bref si quelqu'un est intéressé pour venir chercher tout cela près de NANCY (prévoir break ou remorque), je ne serais pas gourmand n'étant pas sûr du fonctionnement.
Comme je n'habite pas très loin de Nancy, j'ai répondu à l'annonce et j'ai fait les 200 kilomètres qui me séparait de ce futur "El Dorado" d'Amigaïste. Arrivé sur place, je suis tombé sur un ancien Amigaïste très sympa et surtout sur une montagne de cartons/matériel à charger dans la Logan MCV (le modèle "break" de la Logan). Encore heureusement que j'avais un break, sinon je n'aurais jamais pu tout ramener.

Entre les neuf boîtes de disquettes remplies, les originaux de logiciels qui coûtaient un bras à l'époque, les accessoires Amiga divers et variés (allant du pistolet optique "West Phazer", jeu de Loriciel sorti en 1989, avec ses disquettes originales et son poster en guise de manuel, à la barrette de mémoire de 128 Mo en passant par des joysticks et autres scanners à main ou même un genlock vidéo, qui permet de faire de l'incrustation vidéo facilement et qui était pas mal utilisé par la télévision dans les années 90). Bref, de quoi passer quelques soirées à trier et faire du rangement. D'ailleurs, je compte embarquer tout le surplus qui ne me sera pas utile lors de la µAlchimie qui se déroulera les 9 et 10 Octobre à Clérieux (dans la Drome), donc si des personnes vont à ce rassemblement, prévoyez de la place dans la voiture si vous voulez ramener quelques petits trucs ^.^

La partie la plus intéressante, pour moi en tout cas, c'était le 4000D. J'avais déjà un 4000D que j'avais eu grâce à un troc avec Huno, je l'avais eu en échange d'un A2000 qu'un autre ami-gaïste m'avait donné (sieur JiDeWe pour ne pas le citer). J'avais acheté pour ce premier 4000 une carte accélératrice CyberStorm avec un 68060 ainsi qu'une carte graphique CyberVision, qui se branche sur la première carte. Bref, une belle bête qui, si je l'avais monté à l'époque m'aurait coûté au bas mot 30.000 Francs (4.500 de nos euros de maintenant, mais avec l'inflation et tout, je pense que ça serait plutôt 5.000). J'étais parti dans l'optique de récupérer ce 4000 (avec la carte CyberStorm PPC possédant elle aussi un 68060 à 50 MHz ainsi un processeur 604e à 233 MHz) pour réussir à me monter un 4000 flambant neuf et finalement, je me retrouve avec une CyberStorm PPC fonctionnelle mais qui a perdu son PPC au passage, en faisant donc une simple carte 68060 comme j'ai déjà... dommage... J'ai récupéré tout un tas de matériel divers, dont un énigmatique appareil photo magnétique Canon iOn(un numérique datant de 1988 et fonctionnant avec des mini-disquettes) qui semble ne plus fonctionner, la carte processeur 3640 d'origine du 4000 ou bien encore un clavier, etc.


Pour redonner un coup de jeune à mon 4000 (j'ai décidé de n'en conserver qu'un seul et de donner l'autre à Cosmos, que vous allez apprendre à connaître dans la suite de ce billet), mais aussi à mon Amiga 1200 et à sa carte accélératrice Blizzard MK-IV 68030 à 50 MHz et à une de mes cartes mère d'Amiga 1200 qui avait des petits soucis d'affichage, j'ai amené tout ceci dans l'atelier de Cosmos pour voir ce qu'il pouvait faire. Cosmos est un roi du fer à souder, mais aussi de la programmation puisqu'il a sorti une nouvelle version de la exec.library et qu'il travaille ardemment sur un kickstart 3.9 pour les différents Amiga (le kickstart étant, pour schématiser, le bios des Amiga). Il a déjà, pour cela, modifié les cartes mère d'A500 et A2000 afin que celles-ci puissent accueillir un kickstart de 1 Mo, au lieu du kickstart de 512 ko d'origine. D'ailleurs, si vous avez une idée pour mettre un kickstart de 1 Mo sur un 3000 et un 4000, Cosmos vous en serait reconnaissant ^.^

Cosmos est aussi un "réparateur" sympathique qui change tous les condensateurs de vos Amiga et de vos périphériques pour pas cher (il faut savoir qu'un condensateur à une durée de vie de 15 ans et qu'il peut faire des dégâts irréparables sur votre carte mère quand il "meure", il vaut donc mieux prévenir que guérir surtout que le coût d'un changement par vos soins n'est que de 6 EUR, ou 24 EUR si vous demandez à Cosmos de le faire pour vous). Ceci est donc peu pour être tranquille puisque ce sont les seules pièces "mortelles" sur une carte mère d'Amiga, avec éventuellement la pile qui permet de conserver l'heure en mémoire, à changer ou à enlever absolument sur les Amiga 4000 notamment.

J'ai donc tout donné à sieur Cosmos qui s'est fait une joie et un honneur de me remettre tout ça en état voire plus ! En effet, il a, en plus du changement de condensateurs, légèrement overclocké (de 50 à 64 quand même) ma première CyberStorm 060 (voir cet article qui est dédié à cet overclocking sur son blog). La Blizzard MK-IV a vu ses condos changés et ses soudures refaites, mes deux 1200 ont eu les condos changés eux aussi et le 1200 avec le problème d'affichage n'en a plus... de problème ^.^ De plus, le 4000 est lui aussi comme neuf désormais, avec de nouveaux condos et de nouveaux ports manette/souris/parallèle/série, une vraie cure de jouvence en somme.

J'avais aussi récupéré, avec le 4000D, une carte CyberStorm PPC HS. En effet, le proprio de l'époque avait voulu l'overclocker sans succès et avait cramé la carte. J'ai donc fait "don" de cette carcasse à Cosmos qui semble bien parti pour la faire revivre, enfin, c'est ce qu'on espère. Quand je vous dis que c'est le roi du fer à souder ^.^

En tout cas, je suis bien content d'avoir usé et abusé des services de Cosmos, et ce n'est qu'un début puisque je vais maintenant lui apporter mon Amiga 600, mon Amiga 500, mon Amiga 1000, ma CD32 et son SX32, et sans doute mon Amiga 1200 qui dort chez mes parents (et celui-là, c'est mon "1200 de la muerte" avec cartes PCI, grosse carte accélératrice et tout le tuttim). Encore pas mal de boulot pour Cosmos quoi ! ^.^


NB : La bannière ainsi que les trois premières photos de ce billet ont été prises avec le Nexus One (d'où la qualité... douteuse) tandis que les deux dernières proviennent du blog de Cosmos.


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/me a rangé son bureau et va enfin pouvoir utiliser ses Amiga ! Enfin !


Billet posté le 1er Septembre 2010